Regard croisé entre le livre et l’adaptation cinématographique de Millénium
Depuis quelque temps, la France est touchée par un nouveau virus. Un virus qui a atteint son pic épidémique le 13 mai 2009. Les symptômes sont facilement identifiables : obsession, insomnie. Et ce virus est bien visible dans métro, bus et rer. Aucun passager n’est épargné : jeunes, vieux, hommes, femmes. Mais de quoi s’agit-il ?
C’est …
C’est le virus Millenium.
Tous les usagers des transports en commun ont le même livre à la main : Millénium. Un même livre, ou plutôt une même trilogie. Car en fait, Millénium, c’est une véritable saga composée de 3 tomes. Millénium fonctionne un peu comme un aimant. Impossible de se séparer de lui tant que l’on n’a pas lu la fin. Les mains collées à la couverture et le regard fixé aux pages du livre.
Un tel engouement presque sectaire est loin d’être nouveau. Avant Millénium, d’autres romans ont suscité ce même phénomène. Entre autres la série des Harry Potter ou plus récemment Da Vinci Code de Dan Brown. Millénium, comme ses aînés, doit son succès au bouche à oreille et à une adaptation cinématographique, sortie sur grand écran en mai dernier. Jusqu’ici, j’étais toujours restée imperméable à ce type de phénomène de mode littéraire. Mais Millénium, grâce à une couverture et des titres assez atypiques, faut bien le dire, et grâce à une bande-annonce alléchante aura finalement eu raison de moi.
Direction : la salle de cinéma pour découvrir le 1° volet de la trilogie. Et malgré les 2H20 du film, je n’en avais pas eu assez. Alors je me suis plongée dans la lecture du roman : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes. Et j’ai été littéralement conquise. J’ai donc décidé de participer à la propagation de ce virus et de vous donner l’envie de succomber à votre tour à Millénium…
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